Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactéeDans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausoléeEt je divagueJ'ai peur du videJe tourne des pagesMais ... des pages videsPoussière errante, je n'ai pas su me dirigerChaque heure demande pour qui, pour quoi, se redresserEt je divagueJ'ai peur du videPourquoi ces larmesDis... à quoi bon vireMais mon Dieu de quoi j'ai l'airJe sers à rien du toutEt qui peut dire dans cet enferCe qu'on attend de nous, j'avoueNe plus savoir à quoi je sersSans doute à rien du toutA présent je peux me taireSi tout devient dégoûtPoussière brûlante, la fièvre a eu raison de moiJe ris sans rire, je fais n'importe quoiEt je divagueJ'ai peur du videJe tourne des pagesMais ... des pages videsMais mon Dieu de quoi j'ai l'airJe sers à rien du toutEt qui peut dire dans cet enferCe qu'on attend de nous, j'avoueNe plus savoir à quoi je sersSans doute à rien du toutA présent je peux me taireSi tout devient dégoût
Je ne supporte plus ces regards
Ils ne me connaissent pas

Bon, je reprends mon clavier pour continuer ma vie... Tout d'abord, juste pour vous rafraichir les souvenirs : Benjamin est mon frère par alliance, le deuxième fils de ma belle-mère. Pour plus de détails par la suite, retournez aux guides des noms. Encore une fois, je ne pourrai sûrement pas tout dire en une seule fois, d'où le (1).
D'avoir mis son âme dans tes mainstu l'as froissé comme un chagrinet d'avoir condamné vos différencesnous ne marcherons plus ensembleSa vie ne bat plus que d'une ailedansent les flammes, les bras se lèventlà où il va il fait un froid mortelsi l'homme ne change de ciel pourtant, j'ai rêvéj'ai rêvé qu'on pouvait s'aimerau souffle du vents'élevait l'âme, l'humanitéson manteau de sangj'irai cracher sur vos tombeauxn'est pas le vrai, n'est pas le beauj'ai rêvé qu'on pouvait s'aimerà quoi bon abattre des murspour y dresser des sépulturesà force d'ignorer la tolérancenous ne marcherons plus ensembleles anges sont las de nous veillernous laissent comme un monde avortésuspendu pour l'éternitéle monde comme une pendulequi s'est arrêtéej'ai rêvé qu'on pouvait s'aimerau souffle du vents'élevait l'âme, l'humanitéson manteau de sangj'irai cracher sur vos tombeauxn'est pas le vrai, n'est pas le beauj'ai rêvé qu'on pouvait s'aimer{Refrain x2}j'ai rêvé qu'on pouvait s'aimerj'avais rêvé du mot AIMER
Les cloches sonnent,
Résonnent.
Dans ma tête,
Ca fait un drôle de bruit.

Encore un texte que j'avais écris un jour de mal-être comme il en existe tant dans ma vie. Il faut dire que j'écris beaucoup... A l'origine, ce texte était écrit avec les vrais noms, mais je les ai changé pour garder l'anonyma et pour que vous compreniez aussi grâce au "guide des noms".

Bon, l'histoire de ma vie n'étant pas finie (loin de là), je continue ici mon "guide des noms" afin de garder l'anonyma tout en vous permettant de suivre un fil cohérant.
Tout à l'heureJe roulais sur mon scooter dans ParisD'une voiture, au feu rouge, un mec me dit :«Eh madame il est quelle heure ?»Je lui réponds : «Midi»Il me dit : «Madame qu'est ce que t'es bonne !Tu veux pas m'faire une gâterie ?»Ses potes rigolentSur le moment j'ai pas comprisJe réponds : «Mon grand, C'est pas comme ça qu'on parle aux gensTu n'aimerais pas qu'on parle comme ça à ta maman»Le mec me r'gardeAvec une tête de chien d'gardeIl m'fait : «Vas-y parle pas d'ma mère ou j'te défonce»J'lui réponds : «Du calme Alphonse !J'te connais pas, tu m'agressesC'est quoi ce manque de délicatesse ?On t'a pas dit d'traiter les femmes comme des princesses ?»Il me dit : «Ouais, mais toi j'te baise !»Je lui dis : «Ben nan justementC'est bien ça l'malaise»Tu sais que...{Refrain, x2}GarçonSi t'enlèves la cédilleÇa fait gar-conEt gare aux cons ma filleGare aux consGare aux consGare aux consQui perdent leur cédilleDi di doumDi di damDi di di di di diJ'continue mon cheminAu feu suivantJ'entends : «Hé grosse cochonne !Quand tu veux j'te prends»C'est encore Alphonse avec sa tête de glandJe lui dis : «Là tu t'enfonces, c'est indécentJ'y crois pas, mec, redescends d'ta planèteTu t'prends pour Tony MontanaT'as même pas d'poils sur la quéquette !»Il m'dit : «Vas-y, sois pas vulgaireTu vas voir où je vais t'la mettre !»Je lui dis : «C'est moi qui suis vulgaire ?Non mais là c'est la fête !Je rêve, pour qui tu t'prends ?Maintenant tu t'arrêtes !»Je descends, il descend, J'dis : «C'est l'bordel dans ta tête !Qu'est-ce que tu comptes faire ?Là t'es en galère, j'veux des excusesJ'attends, et j'lâcherai pas l'affaire»Il me dit : «Nan, toi tu t'excusesEspèce de vieille sorcière !»«C'est la meilleure je t'ai donné l'heure, J'aurais mieux fait d'me taire»Tu sais que...{au Refrain, x2}Voilà comment parlent certains garçonsQuelle honte !Ils mériteraient une bonne leçonTu veux jouer ? On va jouerJ'lui dis : «Baisse ton caleçonTu parles beaucoup, ça manque d'actionTu m'as demandé ? Une fellation ?»Tout à coup Alphonse a une révélationIl renonce et me dit :«Ouais, vas-y c'est bon !Lâche-moi, pardon»J'lui dis : «C'est bienLà, t'as l'air moins con, C'est pas normal d'avoir besoinD'parler aux femmes de cette façonY a un sérieux problème d'éducationPourtant j'suis sûre que t'as un bon fond»Il me dit : «T'as raison j'me sens tout bidonC'est mes potes qui m'poussent, j'ai la pression !»Je lui dis : «C'est bon, pleure pas !»Il manquait plus qu'çaAlphonse qui fond en larmes dans mes brasTu sais que...